
Caractéristiques générales
Nom scientifique : Cacatua leadbeateri
Taille : Environ 35 à 40 cm
Poids : Entre 300 et 400 g
Longévité : Jusqu'à 80 ans en captivité
Origine : Australie
Habitat naturel
Le cacatoès de Leadbeater, aussi appelé cacatoès du Major Mitchell, vit dans l’intérieur aride et semi-aride de l’Australie. Il préfère les vastes zones boisées et les forêts d’eucalyptus, de callitris et d’allocasuarina. Contrairement à d’autres cacatoès, cette espèce ne s’adapte pas bien aux terres défrichées et évite les habitats fragmenté pfcona.org.
Comportement et caractère
Le cacatoès de Leadbeater est réputé pour sa nature sociale et affectueuse, mais il peut aussi être exigeant. Il est très intelligent, curieux et a besoin de beaucoup de stimulation mentale et physique. En captivité, il peut devenir bruyant s'il s'ennuie ou ne reçoit pas assez d'attention. Il est également connu pour ses vocalisations distinctives et son cri perçant pfcona.org.
Vie en famille et reproduction
Les couples sont très soudés et restent ensemble à vie. Ils nichent dans les cavités des arbres et ne tolèrent pas la proximité d’autres couples, ce qui limite leur densité de population dans la nature. En captivité, les mâles peuvent devenir agressifs envers leur partenaire, nécessitant parfois des précautions comme des nichoirs à double entrée pour permettre à la femelle de s’échapper pfcona.org.
Alimentation
Le cacatoès de Leadbeater se nourrit principalement de graines, notamment celles des eucalyptus et des acacias, ainsi que de fruits et de baies. Il cherche souvent sa nourriture au sol et est particulièrement friand de graines de melons indigènes pfcona.org.
Menaces et statut de conservation
L’espèce est en déclin en raison de la destruction de son habitat, du pâturage excessif et du vol illégal de nids. Son statut est réglementé par la CITES (Annexe II), ce qui signifie que son commerce est strictement surveillé. La protection des zones boisées et la régénération de son habitat sont essentielles à sa survie pfcona.org.
Législation
En captivité, la détention de cette espèce est réglementée dans plusieurs pays. En France, il faut une autorisation spécifique pour en posséder un, et sa vente est soumise à des règles strictes pour éviter le trafic illéga
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